Les ateliers Grounding
Proposés en extérieur dans des lieux naturels (forêts, chemins, bords de rivières ou lacs…). Pendant ces ateliers nous découvrons la marche pieds-nus ou simplement le contact de la plante des pieds, des mains… avec la terre.
La marche afghane (pranayama marché) suivi d’exercices respiratoires, de mudras, méditations, chants et moments d’échanges viennent nourrir notre expérience et nous permet de nous connecter au vivant et à notre être plus détendu et épanoui.
Inspiré des techniques Shinrin Yoku, pratique médicale japonaise, qui a des bienfaits pour la qualité du sommeil, l’humeur, la capacité de concentration et le stress.
Voir agenda ateliers Grounding en extérieur
Séance Ancrage
Ces techniques de pleine conscience et de connexion au vivant sont également partagées lors de séances Méditation & Ancrage en salle, à :
Le Centre 29 rue de Chenôve – Dijon les mardi à 18h30.
17 E/séance – 1h15 (+ 8 E adhésion annuelle)
Qu’est-ce que le Grounding et comment cela fonctionne-t-il ?
Le concept du grounding (ou ‘connexion à la Terre’) a été développé initialement par Clint Ober qui a commencé à l’étudier pour se soigner. Clint Ober savait que lorsque les câbles sont raccordés à la Terre, cela élimine les interférences.
Lorsque vous posez vos pieds nus sur le sol, vous absorbez de grandes quantités d’électrons négatifs par la plante des pieds. Dans notre monde actuel, ceci est plus important que jamais, et pourtant les gens se connectent de moins en moins à la Terre de cette façon.
Votre corps a besoin d’être connecté à la terre tout comme il a besoin d’air et de soleil
Vous ne voyez peut-être pas votre corps comme un générateur d’électricité, mais vous êtes pourtant un être électrique et c’est en grande partie pour cette raison qu’il est si important de pratiquer le grounding, pour tirer parti de la charge électrique de la Terre qui influence favorablement votre santé. Gaëtan Chevalier, Ph. D., ingénieur-physicien qui a étudié le grounding, explique :
« Sans en être conscients, nous vivons à l’intérieur d’une batterie. La surface de la Terre est chargée négativement et l’ionosphère, une couche de l’atmosphère qui se trouve environ 100 km au-dessus, est ionisée par le soleil. Les rayons du soleil sont si forts qu’ils divisent les molécules en deux, une charge positive et une charge négative.
Les charges négatives sont transférées à la surface de la Terre, principalement par l’intermédiaire des éclairs, et les charges positives restent 100 km au-dessus. Les problèmes surviennent lorsque nous n’avons pas de charge négative. Nous avons besoin de nous connecter à la terre tout comme nous avons besoin d’air et de soleil. »